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[vc_row][vc_column width= »1/4″][vc_text_separator title= »Trails du Luberon et de Forcalquier » title_align= »separator_align_center » color= »grey »][vc_column_text]

illustration-tgl2014Trail   Grand Luberon

Dans le cadre du Challenge des Trails de Provence, c’est à Cabrières d’Aigues que Mario a fait son entrée dans la course.

Le trail du Luberon c’est 31 km avec 1800 m D + (bizarre, bizarre, cela rappelle le Trail Beaumes de Venise).

Par de beaux singles, j’ai découvert rapidement de superbes canyons, caractéristiques du Luberon, avant d’attaquer la montée sur les crêtes du massif du Grand Luberon . S’ensuivait ensuite une véritable partie de yoyo de 7km sur les crêtes, offrant un joli panorama sur la vallée de la Durance ainsi que sur la Sainte Victoire qui permettait d’atteindre le point

T G L

culminant du massif du Grand Luberon, le Mourre Negre à 1125m d’altitude. Ensuite une descente très rapide, longue de plus de 3km et bien roulante. Si jusque là, les sentiers étaient peu techniques bien avec de bons dénivelés, la dernière partie débutait par un single assez caillouteux en raide montée avec quelques bosses casse-pattes, quelques descentes version « toboggan » avant de finir sur une large piste qui m’a eu à l’usure.

Grand Luberon

 Un trail que je boucle en 3 h 21′ 54″ avec une 39eme place qui m’apporte mes premiers points au Challenge des Trails de Provence.

descente Mourre Negre

Mais que ce fut dur! ces montées très longues en marchant puis d’autres plus courtes mais assez raides ou l’on ne sait pas si l’on doit courir ou marcher. C’est une gestion bcp plus compliquée que le marathon…puis 3h22 de course ca commence à faire, même si je gagne pas mal de place sur la fin! je dois progresser en montée et en descente mais c’est cool à faire!
 
MARIO

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 Trails de Forcalquier

C’est au pied de la Montagne de Lure , plus exactement à Forcalquier que Luce est allée s’affronter au Marathon de Lure avec ses 47 km  et  2300 m D +. Grandcoup de chapeau, sacré défi.

 

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Course de Montagne

C’est à St PRIEST  en Ardèche, que Guillaume est allé se tester sur une course comptant pour le challenge des courses de montagne.

 Première remarque: il a fait bien beau et bien chaud… A 10h, dans un magnifique centre ville(age), peu de coureurs au départ du 12 km de St Priest (07), une cinquantaine me semble-t-il. . Pourtant, le parcours ne pouvait qu’être  MAGNIFIQUE dans ce paysage de rêve!
 
Le départ fictif est lancé, pour atteindre un pont au font du vallon, d’où nous partonsP1050947. Je me retrouve très vite dans le groupe des 4,5,6 et 7ème, pour aborder la première montée. Une pente raide, dans des sous-bois vraiment sympas, où l’on ne peut courir même pas la moitié du temps… Là haut, je me présente en 4ème place, sans ressentir de fatigue particulière. J’entame alors la première descente, rapide, et je me retrouve très vite devant la deuxième difficulté, annoncée comme la plus dure. Je commence à avoir soif, et je me languis d’être en haut… Mais pour ça, il a fallu faire un peu de grimpette, à la limite de mettre les mains. En effet les organisateurs nous ont ouvert une belle montée, sans trop se soucier des virages, mais plutôt en cherchant l’accès le plus court vers le sommet…
C’est ce que l’on appelle de la course de montagne.
Enfin! Je suis en haut, je me retourne, les autres ne sont pP1050945as bien loin et j’ai toujours aussi soif… Et me voilà devant une descente, ou plutôt un toboggan bien raide, dans lequel les arbres sont les bienvenus pour nous freiner… Arrivé en bas de cette section, je me fais doubler, je n’arrive pas à allonger ma foulée et j’ai très soif. Je m’accroche, et on fini par arriver au premier ravito…  Un petit gobelet d’eau plus tard, je repars, mais j’ai l’impression que j’aurais du en prendre deux. En effet une troisième montée m’attend, avec une première portion au soleil, et pas un brin d’air… j’étouffe! Je laisse partir celui que je suivais, et essaie d’avaler ma salive… J’aperçois un autre coureur qui s’approche très vite de moi au moment ou j’entame la section plus raide. Et apparemment, c’est la montée la plus longue… Je le laisse passer, je me retrouve 6ème, mais je ne le laisse pas partir lui… Enfin, j’essaie. Je le suis en me hissant jusqu’en haut de la dernière butte, où je suis ravi de trouver de l’eau. Je me fais néanmoins distancer dans la descente. Je me retrouve encore une fois au font du vallon, il n’y a plus qu’à remonter vers le village!! Les sensations reviennent, j’accélère sur un sentier en balcon magnifique, et j’arrive finalement à la ligne d’arrivée en 6ème position, au bout de 1h21min19s.
Je suis content d’être arrivé. Je n’ai pas tellement mal aux jambes, mais j’ai une de ces soifs!! En tout cas, c’est un format de course que j’adore, et en plus aujourd’hui dans un cadre magnifique, c’était parfait! C’est vraiment une course à faire, ou à refaire!!
A bientôt!
Amicalement, Guillaume.

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20150524_152259 Semi – Marathon

C’est à Six Fours les Plages que Jean – François est allé chercher un chrono sur semi – marathon dans le cadre de sa préparation au marathon du 21 juin en Alsace.

C’est un SEMI avec quelques côtés dont une d’environ 1km et de nombreuses relances. Parcours très beau avec très peu de ville et de long passage en bord de mer, corniche et colline.
Avant le départ les jambes étaient la, j’avais de bonnes sensations pendant l’échauffement.un peu de stress 5 min avant le départ comme bien souvent par peur d’être juste dans mon objectif chrono.
Dès le départ  je me cale entre 13kmh et 13km500,  en poussant un peu plus dans les côtes pour rester au plus prêt de 13.Des coureurs me double mais je garde mon allure ; j’ai de très bonnes sensations et un rythme à tenir. C’est primordial dans la préparation d’un marathon.

Vers le 7km passage sur l’île du Gaou  avec relance et passage un peu techniq20150524_151830ue (trail), puis vers le 9 km attaque de la longue côte. Mes jambes sont excellentes et je lâche mon groupe pour remonter une quinzaine de personnes. Je reviens sur quatre avec qui je vais rester quelques kilomètres . Puis je fais l’effort pour partir à deux , à 5 km de l’arrivée.
Le rythme est de 14,5 km/h environ . Nous prenons les relais régulièrement. L’entente est bonne entre nous deux pour atteindre la ligne d’arrivée.
Je laisse quelques plumes dans une dernière côte pour rester au contact. Dans la dernière descente je récupère un peu, un troisième coureur nous revient dans les pas à 500 mètres de l’arrivée . Nous accélérons pour finir au sprint les 300 dernier mètres. Je finis derrière à quelques petites secondes de mon équipier d échappée. Top chrono: 1 h 34′ , 14eme à 18′ du premier; un temps qui me rassure pour la suite de la préparation marathon.
Voilà ma course et je récupère très bien. C’est tout le bénéfice de l’entraînement. Je vous assure que suis heureux, heureux de courir.

Sportivement,   Jean – François

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Suite trails de Forclaquier:
« Peut – être pas des mieux préparée,  j’ai pris le départ avec des « crampes sousjacentes » susceptibles de se manifester n’importe quand. Rythme super cool au début, on marchait beaucoup. J’ai inauguré les bâtons qui m’ont bcp aidés ( pour soulager mes jambes et aussi je me suis aperçue que j’allais plus vite en marchant grâce à la poussée . ). Meme en descente je ménageais mes cuisses avec les batons, je m’en suis beaucoup servie. Finalement j’étais bien même sur la fin , c’est à croire que l’endurance sur les longues distances me convient et me permet de m’exprimer. Les 15 derniers kms ont été durs pour tout le monde; dans ces moments c’est cool de ne pas être seul.  Musculairement ça a tenu (enfin…je ne serai pas repartie!)  .
j’ai même eu la chance de faire une séance d’ostéo. Pas de courbatures aujourd’hui , c’est formidable, je n’en reviens pas (rien à voir après Méthamis ,  mal aux cuisses , peut – être que j’ai voulu aller trop vite…).

C’est avec un temps de 7 h 15′ , une moyenne de 6,47 km/h que je termine ce trail  dans le couvent des Cordeliers.

 Ce n’est pas un exploit, mais ne pas avoir mal après m’a bien rassuré!

slide_parcours_3-1360x425Beaux paysages variés de moyenne montagne, fôrets bien ombragées, sommet de Lure et paysages plus arides à la fin avec la traversée des Mourres.

Bravo à Cédric et Estelle qui ont fini le grand parcours de plus de 74 kms. »

Amitié à tous ;  LUCE

Clin d’oeil à un autochtone nommé François qui sur le Trail des Mourres, 16 km et 600 m D+ (même format que la DENTELLIERE), avec le dossard 3113 a fait un superbe chrono de 1 h 42 , en tenant la moyenne de 9,96 km/h. Il a réussi son challenge sur les terres qu’il affectionne .

 Mise en page de l’article: Christian

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